Tandis qu'en ce matin,
Tu passais me voir,
Tandis qu'en venant t'asseoir,
Voulant m'entretenir,
D'une passion ancienne,
Qu'à vouloir, à nouveau, faire tienne,
Que d'apiculteur, vouloir redevenir,
Que de cette passion,
Sentir , en toi, à nouveau l'émotion,
D'un nouvel avenir,
Pour ces petites abeilles,
Qui, pour nous, tant veillent.
Que, pour tous ces petits êtres,
Tu sentes en toi, flamme renaître.
Par ce petit poème,
Je ne puis que t'encourager,
A retrouver goût de miel,
Remerciant même le ciel.
Tant, de toutes ces ouvrières,
Il nous vient de prières,
Tant elles sont en danger,
Par tous nos négligés!
de la part de Denis:
RépondreSupprimermerçi pour ce poème et ton encouragement , j'ai hate de redecouvrir la vie des abeilles .