De la tête à ma plume,
Les mots dévalent
La pente de moi,
Pour vous conter mes émois,
Et, avant qu'ils ne s'emballent,
Il me faut grande volonté,
Pour ici, vous les prêter.
Car sinon, d'avalanches,
Ils pourraient même sembler,
Jusqu'à ne plus rien ressembler,
S'en allant même jusqu'aux hanches,
Où je n'ai point de plume!
de la part de Gérard:
RépondreSupprimerbravo pour ta poésie.J'aime tes textes concis, rapides,décisifs et généreux. Ils dévalent ta pente.Ils sont ta charpente et te roulent, hors de l'avalanche des maux.