Parce que l'angoisse de toi,
M'impose sa loi,
Parce que, je ne sais même plus,
Si tu ne m'as jamais lu,
Que je ne sais même plus,
Si cela t'a plu.
Parce que, de ton silence,
En moi, je remplis ton absence...
Tandis que de ton ile, ce matin,
Nouvelle, n'est point belle,
D'elle, pour toi, n'ai aucun chagrin,
Ni même d'angoisse,
De cet avion de poisse...
Car je devine,
Sans être bien malin,
Ni encore moins devin,
Que , de tes 4 murs,
Tu n'as point fait le mur,
Ce matin!
du 04 février 2015
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire