Que nous faut-il donc penser,
De Pascal, ou de Descartes,
N'en faire que seul pari,
ou tirer la bonne carte?
D'un ailleurs, en penser un demain?
Quand, il nous faut ici penser
A prendre, notre vie à deux mains.
De ce possible enfer,
Ou à rêver de paradis,
N'en ai vraiment que faire,
Sauf, ici, à dire simple merci.
De la force qui nous a vu naître,
Et même, d'une seule mère,
Il n'est, que de cette force, à survivre,
Et enfin de transmettre.
Que la force de mes mots,
Vous aide tous à vivre.
Aimer, aimer,
Est la seule chose qui compte,
Quand, nous viendra, à tous, l'heure des comptes.
De la vue d'un petit Maëlo,
A m'apparaître un matin,
J'en ai vu grande faim.
De la force,
De petit Maëlo, à
vouloir tant vivre,
J'en ai trouvé la force,
De poser ces mots, pour nous aider à vivre.
De ce petit Maëlo,
M'en suis jeté à l'eau.
De simples émerveillements,
A m'être toujours enivré,
M'en suis fait seul parement,
Et du fond de ma carcasse,
M'en suis fait seule cuirasse.
De ma vie, n'ai point beaucoup lu,
Car, c'est Dame NATURE, qui m'a de suite plu.
De l'observer sans cesse,
N'ai eu de cesse.
Ce que j'en ai appris,
Vaut tout paradis!
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