N'est-il point vrai,
Qu'à l'origine,
Quand d'aucuns nous parlent de paradis originel,
L'homme en fait, tentait de survivre, dans un beau bordel!
Qu'il lui a fallu se battre, contre les aurochs,
Avant de devenir, solide comme un roc!
Que, de cette fragilité apparente,
Lui soit venue peu à peu, tête intelligente!
Que notre intelligence, nous ait conduit,
A ménager nos physiques efforts,
Nous menant ainsi, à plus de confort,
Mais aussi à l'ennui!
Que, de ce confort, nous soient nées à l'infini...
Tant d'envies...
Que nos envies, ne sont-elles pas devenues, au fil du temps,
Des besoins indispensables, maintenant!
Que,de la Nature avec nous, autrefois si dure,
Nous n'ayons alors plus eu cure!
Que, nous sommes alors venus,au mot exploiter,
Et peu à peu emprunter, celui de vanité!
Que le monde nous doit tout aujourd'hui,
Pour faire disparaître notre ennui!
Que nous n'avons trouvé, que le mot guerre,
Pour tenter, de nous faire taire!
Que nous avons perdu notre Mémoire,
que cet Alzheimer, nous conduit au désespoir!
Que nous sommes, à la croisée des chemins,
Pour sceller enfin, notre destin!
Que nous n'avons plus le choix,
De faire seulement l'autruche,ma foi!
Qu'au lieu de vouloir toujours paraître,
Nous faut-il nous réconcilier,
Avec celle, qui nous a vu naître!
Abandonner enfin le mot exploiter,
Pour penser, à celui d'utiliser!
Qu'au lieu de ne penser qu'à ce qu'il nous plait,
Nous apprenions enfin, le mot Respect!
Qu'à l'origine,
Quand d'aucuns nous parlent de paradis originel,
L'homme en fait, tentait de survivre, dans un beau bordel!
Qu'il lui a fallu se battre, contre les aurochs,
Avant de devenir, solide comme un roc!
Que, de cette fragilité apparente,
Lui soit venue peu à peu, tête intelligente!
Que notre intelligence, nous ait conduit,
A ménager nos physiques efforts,
Nous menant ainsi, à plus de confort,
Mais aussi à l'ennui!
Que, de ce confort, nous soient nées à l'infini...
Tant d'envies...
Que nos envies, ne sont-elles pas devenues, au fil du temps,
Des besoins indispensables, maintenant!
Que,de la Nature avec nous, autrefois si dure,
Nous n'ayons alors plus eu cure!
Que, nous sommes alors venus,au mot exploiter,
Et peu à peu emprunter, celui de vanité!
Que le monde nous doit tout aujourd'hui,
Pour faire disparaître notre ennui!
Que nous n'avons trouvé, que le mot guerre,
Pour tenter, de nous faire taire!
Que nous avons perdu notre Mémoire,
que cet Alzheimer, nous conduit au désespoir!
Que nous sommes, à la croisée des chemins,
Pour sceller enfin, notre destin!
Que nous n'avons plus le choix,
De faire seulement l'autruche,ma foi!
Qu'au lieu de vouloir toujours paraître,
Nous faut-il nous réconcilier,
Avec celle, qui nous a vu naître!
Abandonner enfin le mot exploiter,
Pour penser, à celui d'utiliser!
Qu'au lieu de ne penser qu'à ce qu'il nous plait,
Nous apprenions enfin, le mot Respect!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire