Chaque
année, le monde,
Procède à ce
calcul immonde,
De compter
ses milliardaires,
Qui un jour
aussi, finiront en enfer.
Comme au
loto,
Chacun, voit
le gros lot,
Aujourd’hui,
en 2010,
Ils sont
cent, que multiplie 10,
Tandis que
l’an dernier,
Ils n’étaient
point encore un millier.
Mais que
chacun n’oublie,… et les riches aussi !
Que, comme à
la loterie,
Pour UN
heureux,
Il est tant,
de malheureux.
Que pour un
gagnant,
Il est tant
de perdants,
Que pour
être ce gagnant,
Nous n’avons,
point une chance sur cent,
Que pour
être heureux,
Il n’est
point besoin d’être envieux
Que pour
être heureux,
Il suffit
peut-être, d’être deux.
Quant à moi, je sais, depuis longtemps,
Que malheur
et bonheur,
Sont tous
deux dans nos cœurs,
Que nous
avons une chance sur deux,
D’être heureux,
ou malheureux,
Qu’il suffit
parfois d’un regard,
Que l’on
porte, comme un poignard,
Qu’il suffit
aussi, d’un autre regard,
Avant qu’il
ne soit trop tard,
Pour que le
malheur, cède au bonheur.
P.S 12.3.2010
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire