poésie libre
et sur la plage un jour s'élance...
puis soudain elle s'efface
sans laisser de trace,
pour céder à la suivante
dont elle devient servante.
Chaque vague
au pied de la falaise, fière
tente une ultime prière...
Comme le sable, sur les plages,
nul ne dit mot
de ses tempêtes, de ses outrages...
pas plus que le poisson,
de sa nage...
Patrick
" sans laisser nulle trace " on pourrait croire le contraire ! " sans laisser de trace " ou bien " ne laissant aucune trace "
RépondreSupprimer" dont elle devient servante " : comme elle cède à elle, elle pourrait " dont elle devient l'amante... " un peu plus corsé pour ces va et vient " salés "
mais l'ensemble me plaît
au 3e vers j'aurais écrit " puis soudain s'efface "
au 9e vers ..............." REjette
ainsi parla Pierre
voilà, c'est ainsi vêtu que ton Océan dut venir sous les yeux oniriens ! Là, rien ne manque, rien n'est en trop ; il n'y a plus qu'à attendre le " ressac " du comité d'édition...
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